Supervision d’équipes

Un regard extérieur sur votre équipe

UNE NOUVELLE DYNAMIQUE POUR VOTRE ÉQUIPE GRÂCE À UNE SUPERVISION

DE QUOI S’AGIT-IL ?

Dans un secteur professionnel qui évolue rapidement, une supervision est le moment privilégié pour une équipe de prendre du temps pour soi dans un cadre protégé, où chacun a sa place et peut parler librement. Des questions sensibles y sont abordées et les membres de l’équipe apprennent à se soutenir différemment. D’éventuels malentendus et de possibles tensions sont abordés sereinement, avant qu’ils ne dégénèrent en problèmes ou conflits.

POUR QUI ?

Les supervisions s’adressent aux équipes du secteur socio-éducatif, du secteur des soins et du secteur de la santé.

L’OBJECTIF PRIMAIRE D’UNE SUPERVISION

est d’accompagner l’équipe pour que chaque membre de l’équipe :

  • apprenne à s’écouter plus consciemment, à reconnaître et à poser ses limites
  • prenne conscience de son propre potentiel dans le cadre de son travail
  • devienne capable de reconnaître les éléments quotidiens sur lesquels il/elle peut avoir une emprise et ceux qu’il/elle ne peut ni influencer ni changer
  • réapprenne à dialoguer dans le respect mutuel à la recherche de vraies solutions

Ainsi les bénéficiaires de l’équipe peuvent profiter à nouveau pleinement du savoir-faire et du savoir-être de chacun des professionnels qui les encadrent.

DÉROULEMENT D’UNE SUPERVISION

Une supervision répond aux demandes des membres d’une équipe. Ainsi, au cours de la première séance, le cadre de la collaboration et les objectifs à atteindre sont fixés ensemble. Ensuite 4 à 5 séances, de 4 heures généralement, sont espacées sur un an. Pour chaque séance, il existe un ordre du jour qui sera traité en trois temps :

  • contexte
  • identification de la question-clé
  • recherche de pistes d’action. Ces dernières constituent aussi la base du travail d’intersession (tâches à réaliser entre deux séances).
  • Un feedback systématique a lieu à la fin de chaque séance.
QUESTIONS ABORDÉES EN SUPERVISION (échantillon) :

Comment poser ses limites face à des situations vécues comme difficiles, pour qu’elles ne nous envahissent pas complètement ? Comment gérer une clientèle qui est de plus en plus impatiente, revendicative, voire menaçante ? Comment gérer des ressentis d’impuissance ? Comment mieux s’affirmer au quotidien ?

Que faire pour sortir de la léthargie qui a pris le dessus dans notre équipe depuis quelques mois ? Qu’est-ce qui fait encore sens pour nous ? Vers où voulons-nous aller ? Quelles mesures pouvons-nous mettre en place pour améliorer la communication en interne ? Que faut-il changer au niveau de notre réunion d’équipe pour qu’elle ne nous épuise plus ? Comment devenir à nouveau une équipe forte ?

Comment remettre nos bénéficiaires au centre de notre travail ? Comment pouvons-nous être plus cohérents envers nos bénéficiaires ? Comment pouvons-nous atteindre les objectifs fixés dans notre concept ?

MÉTHODES UTILISÉES (échantillon) :
  • Des exercices de photolangage
  • Une écoute active de la part du superviseur
  • Un questionnement actif – par le superviseur – des pratiques professionnelles, de la posture et des façons de faire des différents membres de l’équipe
  • La présentation de modèles et d’outils qui offrent à l’équipe de nouvelles façons de voir, de faire et d’être, dont :
    • les étapes du changement (DiClemente et Prochaska)
    • le Peterkoenigsystem © :
      • Exploration de la relation à l’argent
      • Analyse du rôle des initiateurs de projets
      • Identification des refus et des croyances
  • L’exploration des zones d’ombres et leurs polarités
  • Des mises en situation
  • Des techniques de décentrage

Témoignages

« Ech soen Dir villmools Merci fir deng wäertvoll Ënnerstëtzung an deng Mënschlechkeet. Deng Manéier wéis du Themen behandels, ass einfach immens intressant, a bréngt eis all weider. Obschonn mir eis nach guer net kannt hunn, haten mir vum éischten Dach un, Vertrauen an dech. Du hues eis dat Gefill vun Sécherheet ginn : ouni iergend een Bedenken hunn mir Problemer ugeschwat, dat ass an der Vergaangenheet net ëmmer esou schnell gaangen. » (Monique, Chef de groupe)

« Wat ech ganz nëtzlech fond hun, ass dee Raum den d’Supervisioun gët, fier sech auszetauschen. Ee Raum, fier och eventuell Malentendu’en aus dem Wee ze raumen. Ee Raum fier einfach aaner Perspektiven eng Kéier ze beliichten. Et mecht Sënn, dësen Austausch an der Transparenz, an nët an der Rechtfertigung, ze hun. » (Annick, Chef de groupe)

« D’Supervisioun hëlleft eis, dat mier eis besser gesin. » (André, Éducateur gradué)

« J’apprécie beaucoup les supervisions. Avec le temps, on a senti qu’on a créé une confiance entre nous tous et qu’on peut être assez ouvert, pour pouvoir lâcher, montrer nos faiblesses, chose qu’au quotidien, on évite peut-être de faire. On veut toujours montrer qu’on est fort, et en fin de compte, on ne l’est pas. On veut toujours montrer l’idéal au client, qu’on est là pour régler tous leurs problèmes, mais nos problèmes à nous-mêmes, on ne les règle pas. En fait, cette supervision m’a permis de me remettre en question moi-même et de me retrouver, de retrouver qui je suis et qui je veux être. Et de laisser, ce que je ne pouvais plus changer, derrière moi. Pour ça, je vous remercie. » (Paula, Assistante sociale, Office social)

« Ech fannen et ëmmer rëm flott ze gesinn, wéi een Zesummenhalt, Respekt a Vertrauen mir eis hei an dësem Grupp erméiglecht hunn. Jiddereen vun eis hat bis elo schonns ee Moment wou e vill Präis gi huet vun sech selwer. Ech fannen ët immens flott, datt mir eis esou geigensaiteg kënnen ënnerstëtzen, datt mir d’Rotschléi, déi mir vum Superviseur, a vun eise Kolleege kritt hunn, mat op de Wee huelen, an dann och applizéieren. » (Angèle, Assistante sociale)

« Ech fannen ët ganz interessant, virun allem och, well een ëmmer rëm gesait an och spiert, dat een nët aleng ass, mat dene Situatiounen, déi een am Alldag begéint. Ët stellt ee sech selwer a Frô, ët réflektéiert een iwer sech selwer, ët denkt een méi wait no – och duerch déi Übungen, déi mier machen, wou mier selwer an eis era gin. Dat mech eppes mat engem. » (Jessica, Assistante sociale, Office social)

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